De formation juridique, j’ai effectué toute ma carrière professionnelle en entreprise. A l’approche de la retraite, j’ai décidé de prendre le temps de réfléchir à ce que je souhaitais faire. Il s’agissait d’occuper tout ce temps dont j’allais désormais disposer.
Très rapidement, la sculpture à travers la pratique du modelage m’a séduit. J’ai eu la chance de pouvoir m’inscrire à des cours dispensés à l’atelier “Matière & Imaginaire” au 41 rue de la Butte aux Cailles, dans le 13éme arrondissement de Paris (https://matiere-imaginaire.fr). Je les ai suivis avec bonheur pendant plusieurs années.
En quoi cette activité artistique m’a-t-elle intéressé ?
Comme beaucoup d’autres activités artistiques, elle conjugue pratique manuelle et pratique intellectuelle
En premier lieu, il y a nécessairement la recherche d’un motif qui doit susciter le plaisir de la création. On fait alors la découverte d’une multitude d’œuvres et d’artistes en recherchant sa propre inspiration. Puis au fur et à mesure des pièces créées, on a l’occasion d’apprendre différentes techniques ; par exemple celles qui permettent de construire un visage.
Ceci étant, le modelage se distingue des autres activités artistiques par le contact physique avec la matière. En effet, on se confronte directement à la terre, l’argile ou le grès, à la cire perdue, à la monster clay ou la plasticine, ….
Et une fois la pièce achevée et éventuellement cuite, une question se pose. Faut-il la patiner pour la mettre, s’il y a lieu, encore plus en valeur ? Et si la réponse est positive, quelle patine utiliser ? C’est une nouvelle étape qui personnellement m’a longtemps fait hésiter à patiner mes pièces. Mais il faut se lancer. En effet, comme pour le modelage, la patine tolère de tâtonner enfin pour celles que j’ai expérimentées. Je pratique la patine à la colle à bois et à la gomme laque, avec des pigments; j’utilise aussi de la patine au lait, au cirage ou encore à la peinture acrylique.
Et après?
Il y a une réelle satisfaction une fois la pièce totalement achevée lorsque celle-ci participe modestement à décorer votre intérieur ou celui d’une autre personne. Il y a aussi le plaisir des progrès effectués pièce après pièce surtout lorsque, comme moi, la pratique de modelage est relativement récente.
Personnellement, je suis incontestablement attiré par la reproduction du corps humain, dans son intégralité ou en partie, les visages, les mains, … C’est une source constante d’inspiration. Il s’agit d’un défi permanent qu’il s’agisse de la construction de proportions cohérentes, d’un équilibre des formes, de la recherche d’une expression, ….
Si vous souhaitez faire un commentaire sur l’une ou l’autre des pièces exposées, je vous invite à utiliser la page Contact.
De formation juridique, j’ai effectué toute ma carrière professionnelle en entreprise. A l’approche de la retraite, j’ai décidé de prendre le temps de réfléchir à ce que je souhaitais faire. Il s’agissait d’occuper tout ce temps dont j’allais désormais disposer.
Très rapidement, la sculpture à travers la pratique du modelage m’a séduit. J’ai eu la chance de pouvoir m’inscrire à des cours dispensés à l’atelier “Matière & Imaginaire” au 41 rue de la Butte aux Cailles, dans le 13éme arrondissement de Paris (https://matiere-imaginaire.fr). Je les ai suivis avec bonheur pendant plusieurs années.
En quoi cette activité artistique m’a intéressé ?
Comme beaucoup d’autres activités artistiques, elle conjugue pratique manuelle et pratique intellectuelle.
En premier lieu, il y a nécessairement la recherche d’un motif qui doit susciter le plaisir de la création. On fait alors la découverte d’une multitude d’œuvres et d’artistes en recherchant sa propre inspiration. Puis au fur et à mesure des pièces créées, on a l’occasion d’apprendre différentes techniques ; par exemple celles qui permettent de construire un visage.
Ceci étant, le modelage se distingue des autres activités artistiques par le contact physique avec la matière. En effet, on se confronte directement à la terre, l’argile ou le grès, à la cire perdue, à la monster clay ou la plasticine, ….
Et une fois la pièce achevée et éventuellement cuite, une question se pose. Faut-il la patiner pour la mettre, s’il y a lieu, encore plus en valeur ? Et si la réponse est positive, quelle patine utiliser ? C’est une nouvelle étape qui personnellement m’a longtemps fait hésiter à patiner mes pièces. Mais il faut se lancer. En effet, comme pour le modelage, la patine tolère de tâtonner enfin pour celles que j’ai expérimentées. Je pratique la patine à la colle à bois et à la gomme laque, avec des pigments; j’utilise aussi de la patine au lait, au cirage ou encore à la peinture acrylique.
Et après?
Il y a une réelle satisfaction une fois la pièce totalement achevée lorsque celle-ci participe modestement à décorer votre intérieur ou celui d’une autre personne. Il y a aussi le plaisir des progrès effectués pièce après pièce surtout lorsque, comme moi, la pratique de modelage est relativement récente.
Personnellement, je suis incontestablement attiré par la reproduction du corps humain, dans son intégralité ou en partie, les visages, les mains, … C’est une source constante d’inspiration. Il s’agit d’un défi permanent qu’il s’agisse de la construction de proportions cohérentes, d’un équilibre des formes, de la recherche d’une expression, ….
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